Paul Dubé, l’Ombudsman de l’Ontario, a lancé le 28 février 2025 un prix destiné aux organismes du secteur public ayant des pratiques administratives exemplaires – le Prix de l’Ombudsman pour la bonne gouvernance.
Des prix seront remis dans le cadre du 50e anniversaire d’Ombudsman Ontario, à des organismes œuvrant dans trois domaines relevant du mandat de l’Ombudsman : organismes gouvernementaux provinciaux, organismes du secteur parapublic (ex. : conseils scolaires, universités et sociétés d’aide à l’enfance) et municipalités.
Le premier organisme lauréat est la Police provinciale de l’Ontario (PPO), qui reçoit le prix pour l’amélioration de ses services en français. L’Ombudsman l’a choisie parce que la PPO a réglé des problèmes techniques de longue date avec la diffusion des alertes AMBER en même temps en anglais et en français. La PPO a également déployé des initiatives exemplaires d’offre active de services en français, comme l’exige la Loi sur les services en français. Ces efforts positifs avaient été soulignés dans le dernier Rapport annuel du Commissaire aux services en français, Carl Bouchard, publié par le Bureau de l’Ombudsman en décembre dernier.
Image du certificat pour le prix de la bonne gouvernance« Le Bureau de l’Ombudsman a été fondé en 1975 pour protéger les droits de la population de l’Ontario, donc nous ne faisons pas que recevoir des plaintes et régler des questions d’ordre administratif », déclare M. Dubé.
« Lorsque nous découvrons un problème individuel ou systémique, nous proposons des solutions pour améliorer les services au public. Les organismes visés font preuve d’équité, de transparence, de responsabilisation et de respect des droits lorsqu’ils appliquent nos recommandations; il est donc tout à fait approprié de les féliciter. »
Ombudsman Ontario reconnaît depuis toujours les pratiques exemplaires des fonctionnaires et des organismes publics, fait remarquer M. Dubé. « Lorsque les organismes gouvernementaux et du secteur public mettent nos recommandations en œuvre et bonifient leurs pratiques, c’est tout le monde qui y gagne. »
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Source: L'Ombudsman de l'Ontario, Canada