Une mère porte plainte contre la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) qui a tardé à reconnaître qu’elle était victime de violence conjugale.
L’intervenante responsable, qui venait d’être embauchée, n’était pas formée pour intervenir en pareille situation. Elle n’a pas compris le contexte, même si la mère disait craindre pour sa sécurité et celle de son enfant. Elle demandait entre autres à la mère de rencontrer son ex-conjoint en personne. Or, dans les cas de violence conjugale, il faut justement éviter ce type de réunion.
Depuis l’intervention du Protecteur du citoyen, l’intervenante a reçu une formation complète sur le sujet. Le Protecteur du citoyen a aussi rappelé à la Direction de la protection de la jeunesse ( DPJ ) que ses intervenants doivent non seulement être bien formés, mais également bien supervisés.
Pour en savoir plus sur ce cas vécu, consultez le Rapport annuel d’activités 2022-2023.
Source: Protecteur du citoyen, Canada