Au terme d’une décennie comme protectrice du citoyen du Québec, Raymonde Saint-Germain a présenté aujourd’hui ses constats à l’occasion du dépôt du rapport annuel de l’institution à l’Assemblée nationale.
« La fonction de protectrice du citoyen n'est à nulle autre pareille pour saisir combien les services du gouvernement, et la possibilité de les obtenir, ont de l'importance dans la vie des citoyens. »
En administration publique, les longs délais d’attente arrivent au premier rang des motifs de plaintes jugés fondés. En matière de santé et services sociaux, ce sont les lacunes quant à la qualité des services qui demeurent le principal motif de plaintes et de signalements fondés.
Par ailleurs, à titre d’ombudsman correctionnel du Québec, le Protecteur du citoyen dresse dans son rapport annuel un portrait de la situation dans les établissements de détention, et ce, dans un contexte persistant de surpopulation carcérale.
Source: Le Protecteur du Citoyen - Le CANADA